La révélation de Sarah

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il y a 11 ans

Sarah s'en était finalement bien sortie ! Un poignet cassé et quelques hématomes. Cette chute de scooter aurait pu se terminer plus mal, sauf que son scooter était complètement détruit. Elle revenait des urgences en voiture avec sa mère.

Sarah était une lycéenne de dix-huit ans, en Terminale, reconnue par toute la gente masculine du lycée comme étant "super canon". Elle avait pour habitude d'aller au lycée et d'en revenir en scooter.

Sa mère, la peur passée, lui faisait la morale :

  • Tu te rends compte ? Tu aurais pu y rester... J'avais dit que je ne voulais pas que tu débrides ton scooter, mais il a fallu que tu le fasses avec tes copains dans notre dos à ton père et à moi. Mais qu'est-ce que tu as dans la tête ? En tout cas tu n'es pas prête d'en avoir un autre.
  • Mais maman, ça n'a rien a voir... J'ai dérapé en freinant.
  • Je ne veux pas le savoir, cinq heures passées aux urgence... En rentrant tu manges et tu vas au lit. Tu vas au lycée demain. Je te rappelle que tu as le bac à passer dans un mois, ce n'est pas le moment de faire des bêtises.

Ce fut effectivement le programme de la soirée de Sarah. Elle mangea un repas léger et elle alla se coucher. De toute façon elle était crevé et puis elle avait des douleurs partout. Elle enfila son petit short de pyjama avec un débardeur et elle alla se coucher.

Le lendemain, le réveil sonna. Encore à moitié endormie, elle éteignit la sonnerie et s'étira dans son lit et là elle sentit quelque chose de bizarre, elle se sentait humide. Elle souleva sa couette et s'aperçu qu'elle était trempée. Elle se leva en catastrophe et après vérification c'était bien ça. A dix-huit ans elle venait de pisser au lit ! Elle se leva et alla voir sa mère.

  • Maman, j'ai eu un petit problème cette nuit...
  • Qu'est-ce qui t'es arrivé ?
  • J'ai pissé au lit je crois, dit-elle avec un ton qui laissait voir le fait qu'elle était morte de honte et au bord des larmes.
  • Ah bon ? Et bien ce n'est pas trop grave, ça doit être le choc de ton accident d'hier. Ne t'inquiète pas, c'est sûrement un petit accident, ça arrive parfois, j'ai lu ça dans mon magazine la semaine dernière.

Rassurée, Sarah alla faire sa toilette puis elle s'habilla. Elle se choisi un petit string rose et un jean moulant, qui laissait bien apparaître ses formes généreuses. Comme haut, elle se choisi un petit débardeur bleu. Puis elle avala son bol de café et se précipita à son arrêt de bus. Cela faisait deux ans qu'elle n'avait plus pris le ramassage scolaire. Deux arrêts plus loin, Aurélia, sa meilleure copine monta dans le bus et vint la rejoindre.

  • Ben qu'est ce que tu fous ? Tu n'es pas venue en scooter aujourd'hui ? Qu'est-ce qu'y t'es arrivé ?
  • J'ai eu un accident avec mon scoot hier, j'ai le poignet pété...
  • Ah merde, heureusement c'est le gauche, tu peux toujours écrire. Avec le bac qui arrive dans un mois...
  • Ouais, c'est clair.

Le trajet continua. Elles continuaient à discuter, mais Sarah senti une petite envie de pipi arriver. Bof, il ne restait qu'un quart d'heure avant d'arriver au lycée, ça devait être son café du matin qui se faisait sentir. Elle irait au lycée avant d'aller en cours. Mais cinq minutes plus tard, l'envie devenait très pressante.

  • Putain, j'ai une de ces envies de pisser... Qu'est-ce qu'il fout le chauffeur, on arrive bientôt ?
  • Ouais, plus que dix minutes.
  • Oh la vache, ça me fait super mal... J'y comprends rien, il y a dix minute j'avais pas envie du tout et là je suis à deux doigts de me pisser dessus.

Dix minutes plus tard, le car arriva au lycée. Sarah se rua en dehors du véhicule et couru aux toilettes dans le hall. Elle s'assit en urgence sur la cuvette et se lâcha littéralement. Ouf, il était temps. Puis elle se rendit en cours, deux heures de maths qui se suivaient. Au bout de cinquante minutes, Sarah sentit une nouvelle petite envie d'uriner. "Je vais y aller à la pause qu'elle nous laisse entre les deux heures", pensa-t-elle. Comme dans le bus, l'envie monta très vite et devint pressante. Elle n'en pouvait plus quand enfin la sonnerie de 9h retentit. "Ouf !", se dit elle. Il était plus que temps, mais elle failli s'étrangler au même moment lorsqu'elle entendit sa prof de math annoncer :

  • On est super en retard sur le programme, donc plus de pause entre les deux heures. On enchaîne.

"Argh... je ne vais jamais pouvoir me retenir encore une heure", pensa-t-elle. Mais elle ne voulais pas trop avoir la honte et donc elle décida de se retenir. Mais cinq minutes plus tard, un petit jet s'échappa. Elle cru qu'elle venait de se faire dessus, mais non, ce n'était qu'une alerte. Elle décida néanmoins de ne pas tenter le diable et demanda à sa professeur la permission de sortir.

  • Ca ne fait qu'une heure qu'on est là, tu ne pouvais pas y aller avant ? Retiens-toi.
  • S'il vous plait madame, c'est urgent. Je dois vraiment sortir !
  • Bon, allez, vas-y.

Soulageé, elle se leva et couru en dehors de la salle de classe. "Qu'est-ce que ça presse ! Ce n'est pas possible, j'y suis allée il y a une heure, pensa t'elle. Mais très vite elle pensa à autre chose, elle senti à nouveau un petit jet. Elle se mit à courir dans le couloir pour arriver à temps aux toilettes, mais cela aggrava plutôt la situation. Elle ne pouvais plus s'arrêter de pisser, elle senti la chaleur s'écouler le long de la jambe. Elle avait les larmes aux yeux, elle sentait le liquide couler jusque dans ses bottes. Lorsqu'elle arriva aux toilettes, le mal était fait.

Elle avais complètement pissé dans son pantalon. La tache bleu foncé était énorme, elle s'étendait tout le long de sa jambe jusque dans ses bottes. Elle traversa le hall et alla à l'infirmerie. Là on lui donna des affaires pour se changer et l'infirmière la consola comme elle pouvait. Elle attendit la recré et alla retrouver ses copines dans la cour qui notèrent immédiatement le changement de vêtements.

  • Qu'est-ce qui t'es arrivé Sarah ? Tu t'es pissé dessus ? Ouah, la honte, la meuf... Hé, faut apprendre à se retenir...

Elle était morte de honte. Elle du supporter les moqueries tout le reste de la journée. Elle avait un travaux pratique de biologie à la dernière heure de cours. Mais vingt minutes avant la fin, elle sentit une nouvelle envie de pisser qui, là encore, montait super vite. Elle ne voulait surtout pas attirer l'attention sur elle en demandant à sortir une fois encore. Les moqueries commençaient juste à se calmer. Elle décida de se retenir, elle irait à la fin du cours discrètement. Mais l'envie monta une fois encore à une vitesse impressionnante. A la fin du cour, le prof dit :

  • Vous lavez les instruments avant de partir.

Sa copine de paillasse ouvrit le robinet pour nettoyer les éprouvettes. Mais le bruit de l'eau qui s'écoulait, c'en était trop pour Sarah qui sentit l'urine chaude couler à nouveau dans son pantalon trop grand pour elle. Une tache se forma, ainsi qu'une flaque à ses pieds. Derrière elle, Karim s'écria :

  • Hé ! Sarah se pisse encore dessus ! La honte... Mets des couches !

Morte de honte, elle sortit de la classe et rentra chez elle trempée. Sa mère la vit arriver à la maison en larmes, trempée et un sac à la main.

  • Qu'est-ce qui t'es arrivé ma puce ?
  • Je ne sais pas ce que j'ai, j'ai des envies de pisser super urgentes. J'arrive pas à me retenir plus de dix minutes. Je me suis tapé la honte.
  • Ah ? Et bien ton petit problème est peut-être plus grave que ce que je pensais. Bon, tu ne vas pas en cours demain, on va aller chez le médecin.

Le lendemain, Sarah avait de nouveau eu un accident la nuit et elle était trempée. Sa mère changea les draps pendant qu'elle se douchait et se préparait. Puis elles allèrent chez le médecin. Dans la salle d'attente, elle eut une nouvelle envie pressente. Elle ne pu pas se retenir plus de cinq minutes. Heureusement pour elle il y avait des toilettes ! Quelques minutes plus tard, le médecin les fit entrer.

  • Alors jeune fille, que vous arrive-t-il ?

Elle était morte de honte, elle sanglotait et c'est sa mère qui expliqua le problème. Le médecin la fit s'allonger et commença à l'ausculter.

  • Relevez votre haut s'il vous plait. Oh, mais c'est quoi cet hématome sur le bas du ventre ?
  • J'ai eu un accident de scooter avant-hier. J'ai pris le guidon dans le bas ventre et j'ai eu le poignet cassé. Le docteur tata le bleu, la fit se rhabiller, puis il fit son diagnostic.
  • Bon je vais vous prescrire des examens complémentaires chez l'urologue qui consulte à l'hôpital. Mais ça risque de prendre un moment avant d'avoir un rendez-vous. Pour moi c'est le choc qui a endommagé les sphincters de la vessie. Ca a rendu la vessie plus instable. En gros, votre vessie se contracte sans prévenir, ça vous déclenche des envies très urgentes et en plus vous avez des problèmes à vous retenir avec cet affaiblissement des sphincters. Il n'y a pas grand-chose à faire pour le moment, il vaut mieux avoir l'avis du spécialiste avant.
  • Mais moi en attendant je fais comment ? s'écria Sarah. Je ne vais quand même pas continuer à me pisser dessus ?
  • Et bien en attendant mieux, je ne vois pas trop d'autre solution que de de vous protéger...
  • Comment ça ?
  • C'est à dire porter des protections Sarah.
  • Je ne vais quand même pas mettre des couches à mon âge ? s'étrangla-t-elle.
  • Je ne vois pas d'autres solutions.

Elle éclata en sanglot. En rentrant, sa mère fit un détour à la pharmacie. La vendeuse leur demanda ce dont elles avaient besoin.

  • Ma fille a des petits soucis urinaires.
  • Nocturnes ou diurnes ?
  • Les deux.
  • Elle perd beaucoup ou seulement quelques gouttes ?
  • Non, pas vraiment...
  • Bon, je vous propose pour la nuit des changes complets en taille Small vu le gabarit de votre fille. Et pour le jour, il lui faut des protections plus discrètes. Essayez les Pants, ça s'enfile comme des culottes, c'est assez discret et ça se retire assez vite en cas de besoin.

Le soir, Sarah était effondrée. Elle mit son change et eu du mal à s'endormir. Cette épaisseur entre les jambes la gênait, mais elle fini par s'endormir.

Le matin, quand sa mère vint la réveiller, elle n'eu pas la même sensation d'humidité que les matins précédents. Mais en se levant, elle senti sa couche lourde entre ses jambes. Elle avait à nouveau eu un petit accident. Enfin petit... Il était temps qu'elle se réveille. Les fuites n'étaient pas loin ! Elle alla voir sa mère.

  • Mais pourquoi tu m'as réveillée si tôt ?
  • Ben pour que tu ailles au lycée tiens...
  • Quoi ? Tu déconnes, je vais pas au lycée aujourd'hui, je vais me pisser dessus. On va attendre d'avoir vu l'urologue !
  • Justement, j'ai appelé ce matin. Tu as rendez vous le 21 juillet. Il n'est pas question que tu restes deux mois à manquer les cours. On t'a acheté des protections, tu vas en mettre une et aller en cours.
  • Pas question ! J'ai pas envie de me taper la honte.
  • De toute façon tu n'as pas le choix. Tu as le bac dans un mois.
  • Mais on s'en fout, tu te rends compte de la honte si ça se remarque ?

Elle fit une crise de larmes et d'hystérie.

  • De toute façon, si tu n'y vas pas, tu sera privée de voir Alex.

Là, sa mère marquait un point. Privée de petit copain à dix-huit, ce n'est pas envisageable. Entre deux sanglots elle se résigna et alla choisir une tenue. Le choix ne fut pas facile car le pant était discret, certes, mais il était quand même très voyant sous la plupart de ses tenues, très courtes ou très moulantes. Pas de jean taille basse possible, pas de short, une mini jupe était difficilement envisageable aussi. A la moindre erreur, elle serait découverte. Elle fini par opter pour un vieux baggy qui datait de sa période rebelle, mais qui avait l'avantage d'être large, et une robe d'été portée par-dessus pour masquer un éventuel dépassement de sa couche au niveau de la taille. Elle se regarda dans la glace. Elle n'étais pas très sexy, elle qui était adepte des petits hauts cours, laissant apparaître son nombril et les jeans taille basse, la tenue idéale d'ailleurs pour cette chaude journée qui s'annonçait. Tant pis, elle qui avait la réputation d'être la fille la plus sexy du lycée, l'image risquait d'en prendre un coup. A l'école, elle du supporter les moqueries pour ses accidents de la veille et aussi des remarques sur sa tenue vestimentaire.

  • Ouh la, qu'est-ce qui t'arrive avec tes vêtements ? s'écria Aurélia.
  • Rien, fous-moi la paix...

Elle craignait vraiment de se faire remarquer, et puis sa couche n'était pas très confortable pour marcher. Ce n'est que lorsqu'une soudaine envie de pisser la prit en cour d'histoire, qu'elle fut soulagée d'avoir une couche. Il n'était pas question qu'elle demande à sortir une fois encore, les moqueries auraient repris. Elle essaya de se retenir, mais dix minutes plus tard elle n'en pouvait plus et un jet s'échappa. Elle n'osait pas se lâcher complètement de peur que quelque chose n'arrive. Mais la nature pris très vite le dessus et elle fini par pisser dans sa couche. Ca n'en finissait plus de couler. Elle jeta un coup d'œil discret autour d'elle. Tout le monde suivait le cours, personne ne se doutait de rien. Elle fut rassurée et commença à bénir sa couche, qui lui évitait une humiliation supplémentaire.

A la récré, elle alla se changer aux toilettes. Elle mit sa couche souillée dans un sac plastique qu'elle jeta dans la poubelle, entourée de papier toilette. Puis elle enfila un autre pant et ressorti l'air de rien.

Le jeudi et le vendredi passèrent ainsi. Sarah devait se changer trois à quatre fois par jour. Cette situation avait au moins un avantage, elle n'était pas obligée d'assister au cours de sport, sa mère lui ayant fait une dispense. Se changer dans des vestiaires communs n'étais effectivement pas envisageable.

Puis le samedi arriva. Alex vint l'après midi. Ils se firent des papouilles dans la chambres de Sarah, mais il se fit vite plus entreprenant et ses mains descendirent vers les fesses de Sarah. Là elle le repoussa.

  • Qu'est-ce ce qui se passe ? Tu n'as pas envie ?
  • Non, ce n'est pas ça, mais...
  • Mais quoi ?
  • Rien... Juste tu ne mets pas tes mains là.

Un peu déçu, Alex s'exécuta. Le soir, ils regardèrent un dvd sur le canapé. A la fin, Sarah lui dit :

  • Au fait ça ne va pas gêner tes parents de venir te chercher à cette heure ?
  • Quoi ? Je ne reste pas dormir ? Pourquoi, je reste dormir d'habitude.

Sarah ne voulait pas qu'Alex découvre son petit problème. Elle ne savait pas comment lui dire et Alex fini par rentrer chez lui.

Le dimanche soir, avant qu'il ne reprenne le train pour tours ou il suivait ses études, il lui téléphona et essaya d'avoir plus d'explications. Peine perdue. Trois week-ends passèrent ainsi, Alex s'énervait.

  • Mais pourquoi je n'ai plus le droit de te toucher ? Pourquoi je ne peux plus rester dormir ? Et puis tu parles que tu es séduisante dans ce survêt....

Sarah était en sanglots, mais elle ne voulait pas lui dire son secret, qu'elle portait des couches à son âge !

Le week-end suivant, elle alla attendre Alex à la gare, mais il ne vint pas. Elle était désespérée. Elle lui laissa des messages, des textos, mais elle n'eu plus jamais de nouvelles. Petit à petit, elle se replia sur elle-même. Elle ne voyait plus ses copines en dehors de l'école et ne sortait plus.

Puis le bac arriva. Tout fonctionnait bien jusqu'à l'épreuve d'histoire. Elle trouvait même que les couches qu'elle portait étaient bien pratiques en voyant les différentes filles sortir au milieu des épreuves pour aller aux toilettes. Au moins, elle n'avait pas ce souci ! Pas de problème donc jusqu'à l'épreuve d'histoire. Cette matière n'était pas son fort et en plus elle durait quatre heures. Au bout d'une heure, un pipi parti dans le Pants, sans souci, puis un autre, plus important, après une heure et demi d'épreuve, et un autre durant la troisième heure. Mais là elle eu une sensation bizarre, elle sentit le liquide couler à son entrejambe ! Elle mit discrètement sa main pour tâter et horreur, sa main était mouillée, avec le pantalon. La couche avait fuit. Elle attendit la fin de l'épreuve. Quand tous les autres furent sortit, elle se risqua à se lever. Il y avait une petite flaque sur la chaise. La fuite n'était pas énorme, mais elle était tout de même très voyante. Elle sortit discrètement de la salle et alla changer de protection. Sa journée d'épreuve étant finie, elle rentra chez elle.

La fin de l'exam se passa sans d'autres problèmes. Les résultats tombèrent le dix juillet. Sarah et toutes ses copines étaient reçues du premier coup. Le soir, Sarah reçu un appel.

  • Sarah ? C'est Aurélia, on va avec Sophie et Clémence en boite ce soir pour fêter le bac. Tu viens avec nous ? Ca fait des plombes que tu n'es plus sortie.
  • Non, desolée, je n'ai pas envie.
  • Allez quoi, Sarah, s'il te plait, on a trop envie de te voir ! En plus il y aura des beaux mecs, tu vas peut être trouver un remplaçant à Alex.
  • Non, vraiment...
  • Oooh, bon, ben tant pis. On se retrouve chez clémence à 21h, si tu change d'avis d'ici là dis-le nous.

Sa mère avait entendu toute la conversation.

  • Tu devrais y aller, ça te changera les idées. Et puis le bac on ne l'a qu'une fois.
  • J'ai envie, mais je ne peux pas y aller avec mes couches. Je vais pas aller en boite en survêt quand même ! Et puis si jamais un mec a les mains baladeuses, il va me calculer...
  • J'ai une idée, répondit sa mère.

Elle se rendit dans la salle de bain et revint avec des échantillons de serviettes Tena.

  • Tu vas essayer de porter ça. Ca arrêtera un début de fuite et ça te permettra d'arriver à temps aux toilettes en boite. Si tu y vas dès que tu sens que tu as envie, ça devrait parer au plus pressé. Et puis c'est presque aussi discret qu'une serviette hygiénique. Un jean moulant ça n'ira pas, mais une minijupe ça devrait passer.

Elle fini par se laisser convaincre et elle accompagna ses copines en boite. Elle dansait depuis environ une demi-heure quand une envie se fit sentir. Elle se rendit tout de suite aux toilettes, mais il y avait une queue horrible. La boisson coulais à flot aussi et pour beaucoup c'en était trop pour une vessie de femme. Beaucoup se tortillaient, serraient les jambes, y compris Sarah d'ailleurs. Elle ne préférait pas tenter de se soulager dans la serviette qu'elle portait, car c'était la fuite assurée ! Pourtant la nature pris le dessus et un gros jet parti. Elle croyait que la catastrophe était arrivée mais non, la serviette avait joué son rôle ! Ouf, une cabine se libéra et elle s'y engouffra. Elle termina son envie et changea sa serviette. Il était temps, la serviette était au bord de la fuite. Elle retourna danser. Au bout d'une heure un mec mignon qu'elle connaissait vaguement du lycée s'approcha et commença à danser, puis à se frotter contre elle. Elle n'avais pas été touchée de la sorte depuis un bon moment et cela l'excitait tout particulièrement, et puis le garçon était très mignon. A la sortie, le garçon proposa de la ramener chez elle. Elle avait prévu de rentrer dormir chez Clémence, mais elle avais très envie de passer plus de temps avec ce garçon.

Elle monta donc dans sa voiture. Yoann, c'était son nom, démarra et pris la route que lui indiquait Sarah. Sarah était aux anges, elle ne s'était pas sentie excitée comme cela depuis des mois. Mais d'un coup elle se mit à paniquer, une envie soudaine la prit. On était en pleine campagne et il faisait noir. Elle n'avait aucune envie de sortir pour pisser, et puis elle ne voulait pas se ridiculiser en demandant à Yoann de s'arrêter. L'envie devint vite très pressante, comme d'habitude. Elle se retenait vraiment de toutes ses forces, elle avait des douleurs dans le bas ventre. Plus que deux minute avant d'arriver chez elle, c'était deux minute de trop. Elle commença à pisser, sans pouvoir s'arrêter. Elle priait pour que sa serviette retienne tout, mais elle senti que l'urine s'écoulait sur le siège de la voiture. Elle se mit à sangloter discrètement. Yoann rentra dans la cour de la maison de Sarah et voulu l'embrasser pour lui dire au revoir. Il s'aperçu qu'elle sanglotait.

  • Qu'est-ce qui t'arrive miss ?
  • J'ai fais pipi sur ton siège ! s'étrangla-t-elle dans un sanglot.

Elle étais morte de honte et elle aurait vraiment voulu séduire Yoann. Mais là, qui voudrait d'une pisseuse ?

  • Mais c'est pas grave, petit bout, je ne t'en veux pas. Je me souviens que tu avais eu des petits accidents au lycée en mai. Mais tu n'avais plus de problèmes depuis, ça t'arrive souvent ?
  • Oui, répondit-elle. Je suis désolée, je ne voulais pas salir ton siège... Mais depuis que j'ai eu cet accident de scooter, j'ai du mal à me retenir. Normalement je me protége, mais pour aller en boite je n'allais pas mettre des couches.

Elle sanglotait.

  • Ecoute, lui dit-il. Ca va te paraître bizarre, mais je n'ai rien contre les filles qui ont des petits accident de ce genre. En fait cela me plait, c'est un fantasme.

Sarah fut surprise. Elle ignorait que ses petit accident et le port d'une couche puisse faire l'objet d'un fantasme. Elle embrassa Yoann qui mit sa main sur son entrejambe mouillé. Elle fut excitée comme elle ne l'avait jamais été. Elle était à la limite de l'orgasme. Mais elle se retint et descendit de la voiture. Quelle révélation tout de même !

Le lendemain, elle alla se renseigner sur Internet sur ce curieux fantasme. Puis elle rappela yoann. Elle l'invita chez elle pour le lendemain, profitant que ses parents soient partis en vacances, avant d'emmener Sarah à son rendez-vous chez l'urologue.

Le lendemain matin, vers 11h, Yoann sonna chez elle. Elle avait fais une grasse mat et elle venait de se lever quand il sonna. C'est en couche sous sa petite chemise de nuit qu'elle alla ouvrir.

  • Entre et attends-moi je vais me changer.
  • Pas la peine ! répondit Yoann.

Il commença à l'embrasser et lui glissa la main dans sa couche trempée de la nuit. Elle fini par s'abandonner totalement à lui... Elle était au septième ciel et elle eut un orgasme exceptionnel, comme elle n'en avait jamais eu !

Très belle histoire
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